Non classé

hichem aboud youtube novembre 2020

Photos des mobilisations algériennes depuis le 22 février 2019 (Suite 5). H. Aboud. 4. N. O. Dans les services, il y a des tireurs d’élite, des professionnels. Il venait d’arriver de la gendarmerie. Aït Ahmed représentait un danger. D’ailleurs où est-il actuellement, ce Hadj Bettou ? Et qu’il n’y a pas eu de réaction de l’armée, ni de l’état-major, ni de qui que ce soit. Même des détenteurs du pouvoir dénoncent le pouvoir et la mafia. Ensuite, la Sécurité militaire contrôle le bâtiment dans lequel il doit entrer. 0. Le Saoudien a dit :  » On a tenu une réunion avec les responsables de vos services mais finalement, il n’y a rien. Je suis revenu à Alger trois jours plus tard. De tout sauf du sujet qui nous intéressait. A des cibles bien précises : commissariats de police, banques, bureaux d’Air Algérie, Galeries algériennes, les grands magasins d’Etat et les locaux du FLN. Focus Ancien diplomate de second rang , en fonction en Libye dans les […] H. Aboud. Les autres membres du  » club des onze  » sont : – Khaled Nezzar, officiellement à la retraite, mais qui vient en France avec un passeport diplomatique et un ordre de mission. Tout le peuple algérien est berbère et la révolte kabyle est celle de tous les Algériens. – A défaut de discréditer cette révolte, les généraux tentent de la récupérer. N. O. Tout le monde en parlait. En organisant ce changement de cap, ils voulaient – et ils ont pu – légaliser ces fortunes mal acquises. – C’est le capitaine Hassani qui m’en a parlé. Ces hommes sont à des postes-clés, on ne peut plus les déloger. Dans la soirée du 5 octobre je m’étais rendu à Tunis où je devais rencontrer Abou Iyad, à l’époque numéro deux de l’OLP (2). On laissait faire. – Mais il reste la question des massacres ? Il a même failli être déféré au tribunal militaire comme traître et trafiquant d’armes ! C’est lui qui surveille le  » tuyau « , comme disent les Algériens. Il ne faut pas oublier non plus Tounsi Ali, le patron de la police. En réalité, la lutte contre le terrorisme n’a jamais été menée de manière organisée en Algérie. 1. H. Aboud. Cette mafia ne lâche rien. Par Abdelkader S. – «Si je devais répliquer à chaque déjection de cette raclure fétide dénommée Hichem Aboud, on n’en finirait pas», a ironisé le général Khaled Nezzar, sollicité par nos soins pour répondre à la dernière galéjade de l’aboyeur de la meute aux abois. Au cours de l’enquête, la gendarmerie avait découvert dans des entrepôts 1,75 milliard de francs en armes et marchandises de contrebande. N. O. – Fodil Chérif, chef de la 1re région militaire. – Comment ? C’est ce que montrent clairement la légalisation, quelques mois après sa création, du Front islamique du Salut (FIS) en contradiction avec la loi du 5 juillet 1989, puis la bizarre liberté d’action dont il a bénéficié. Car ils seront nombreux à devoir répondre de la mort de 500 jeunes manifestants. – Voilà un exemple. Il ne connaissait évidemment pas les relations de Hadj Bettou et les prolongements de cette affaire. Ces deux hommes gênaient, il fallait les neutraliser. H. Aboud. En fait le pouvoir tablait sur un  » mitch-mitch  » : 30% pour le FLN, 30% pour le FFS, 30% pour le FIS. – Non, rien. N. O. J’ai vu sa video sur youtube ou il clame « repondre » a Said Saadi , en emulant un faux accent parisien, sans apporter quoi que ce soit de verifiable. – C’est lui qui dirigeait les séances de torture. N. O. Des rapports étaient envoyés toutes les heures aux décideurs (président de la République, chef du gouvernement, etc.) Hichem Aboud rompt la loi du silence. Le soir, lors de la proclamation des résultats, Mohamed Betchine, qui était à l’époque patron des services, s’attendait à ce que le ministre de l’Intérieur Mohamed Mohamedi prononce l’annulation du scrutin. Aboud est un barbouze du systeme et il le resteras a vie jusqu’a ce que ce systeme disparaisse. Il vient de rentrer d’un séjour de sept ans en Suisse où il était ambassadeur. Il avait mis en place une cellule d’analyse que j’ai intégrée le 9 octobre. H. Aboud. C’est ainsi qu’on a fait intervenir les islamistes, qu’on leur a donné du poids. – Oui, le pouvoir l’a tellement laissé faire qu’il a fini par perdre tout contrôle sur un parti qu’il croyait utiliser contre les forces démocratiques. – Oui. H. Aboud. Car le fait que les islamistes commettent des massacres lui permet de justifier tous les abus de ce qu’il appelle  » la lutte antiterroriste « . Pas même un agent de la circulation… Pourtant on savait que ça allait éclater parce que la veille au soir, des émeutiers s’étaient déjà attaqués à la mairie de Bab el-Oued. Le général Ayat a eu une réunion à la présidence avec Larbi Belkheir, qui était à l’époque directeur de cabinet du président Chadli [et qui est aujourd’hui directeur de cabinet du président Bouteflika, NDLR]. مرحبا بكم في القناة الرسمية لهشام السماتيBienvenue Sur la Chaîne Officiel Hichem Smati L’absence du ministre de l’Intérieur, Larbi Belkheir, est donc un premier point troublant. H. Aboud. – Lors de la révolte d’octobre 1988, les notes des agents sur le terrain font-elles état d’une activité des islamistes ? Surtout lorsqu’il doit rencontrer dix-huit walis, ce qui était le cas de Boudiaf lors de ce voyage. – Pour faire passer leur message. Ils ont justifié cela par le fait que le pays est en état de guerre. 0. On ne bougeait pas. Lorsqu’il est arrivé à Alger en octobre, le chef des services saoudiens a voulu savoir de quelles informations nous disposions pour prouver que l’ambassade du royaume aidait le FIS. Qu’arrive-t-il, d’ailleurs, à Hadj Bettou après son arrestation ? C’est le cas de l’organisation de cheikh Sahnoun. Il fait intervenir l’armée qui écrase la révolte dans le sang. N. O. Je sais que les ordres sont venus de la présidence de la République. Un journaliste algérien résidant en France, Hichem Aboud, a été condamné mercredi par contumace à sept ans de prison ferme par un tribunal algérois, rapporte l'agence officielle APS. – Autour de ces onze décideurs il y a le groupe des sous-traitants : les autres chefs des régions militaires et une pléthore de généraux à la tête des directions sensibles de l’armée. Neuf d’entre eux étaient des sous-officiers ou officiers de l’armée française durant la guerre d’Algérie qui ont rejoint les rangs de l’Armée de Libération entre 1958 et 1961. Abonnez aw-info, la lettre d’information de Algeria-Watch! Mais à l’heure actuelle, il est toujours en vie, en prison. Pas pour des raisons idéologiques – le libéralisme n’appartient pas à la culture de ces clans -, mais pour préserver les fortunes qu’ils s’étaient constituées durant ces années de socialisme. AMEL TV, la première chaîne de télévision euro-maghrébine. – Que savez-vous de l’affaire Ali Mecili? Le 18 septembre 1988, Chadli a fait un discours dans lequel il a clairement appelé les gens à se révolter :  » Mais pourquoi vous restez comme ça ? Et on l’a entraîné dans le bourbier islamiste et dans une guerre qui dure depuis dix ans. Oui, octobre 1988 a été une grande manipulation. » Et Larbi Belkheir lui a répondu :  » Non, il n’y a rien, absolument rien. Le Tribunal de Chéraga a prononcé une peine de 7 ans de prison ferme avec l'émission d'un mandat d'arrêt international contre Hichem Aboud N. O. C’était mon ami. Hichem Aboud. – A eux seuls, ces onze généraux contrôlent l’Algérie ? Elle met dans l’embarras le pouvoir des généraux qui ne trouvent plus d’étiquette assez infamante à lui coller pour la discréditer. – Pourquoi le président Boudiaf a-t-il été assassiné ? On travaillait sur la base des informations qui nous parvenaient des bureaux de sécurité des grandes villes. N. O. N. O. L’ancien chef de cabinet du patron de la toute-puissante Sécurité militaire algérienne dévoile quelques-uns des secrets les mieux gardés de son pays. – Comment l’avez-vous appris ? Aït Ahmed venait de reprendre le Front des Forces socialistes, le FFS, et Ben Bella avait monté le MDA qui était devenu le mouvement d’opposition numéro un. 0. – Le général Mohamed Lamari, chef d’état-major. Une force qui a toujours milité contre le socialisme, appelé au libéralisme. – Savez-vous dans quelles conditions Bouteflika a été choisi ? – Abdelmalek Guenaïzia, officiellement à la retraite. – Mais le FIS avait échappé au contrôle du pouvoir… H. Aboud. Les élections auraient dû être annulées dans à peu près 60% des bureaux de vote. H. Aboud. – Quand on organise des pénuries, c’est pour amener les gens à se révolter. – Le général Mohamed Mediene dit Tewfik, chef de la Direction du Renseignement et de la Sécurité, la DRS, [ex-Sécurité militaire, la police politique du régime]. » C’est le capitaine Rachid Hassani qui a pris en charge cette mission. Mais le général Ayat, en tant que patron des services, se devait de suivre les événements. H. Aboud. – Non, des divergences sérieuses sont même apparues. Des instructions lui ont alors été données pour monter une opération contre Mecili. H. Aboud. Il a été jugé et condamné à mort. En fait, ils ont tout fait pour que ce soit le FIS qui l’emporte. On ne ferme pas non plus les commissariats. – Comment peut-on être sûr qu’il y a eu complot ? N. O. N. O. 32K likes. – Comment interprétez-vous ce qui se passe actuellement en Kabylie ? – Non, il y a des généraux, des colonels, des officiers et des cadres de l’Etat qui n’ont que leur salaire ou leur retraite. Hichem Aboud, né le 15 juin 1955 à Alger, est un journaliste algérien.Il est le fondateur et ancien directeur du quotidien Mon Journal.En 2019, il fonde la chaîne de télévision suisse Amel TV. H. Aboud. Je doute fort que ce soit le cas. Le pouvoir misait aussi sur un bon score du Hamas. N. O. – Le général Smaïn Lamari, directeur du contre-espionnage, numéro deux de la DRS. Après quoi le FIS est allé jusqu’à refuser de participer aux législatives. J’ai assisté à l’audience. N. O. Le complot pour assassiner le président Boudiaf ? Nous sommes là pour servir le pays, pas pour commettre des assassinats ou servir des hommes et des clans. L’invention d’un soulèvement (débat), 11 janvier 2020: vingt-huit ans après le coup d’État en Algérie, un régime immobile, une société en mouvement. Et les manipulateurs finiront par se brûler à force de jouer avec le feu. N’oubliez pas que dans l’armée algérienne – même si on bloque ces gens, si on ne les laisse pas apparaître – il y a une élite universitaire recrutée dans les années 70 pour apporter du sang neuf. – Sahab Abdelmadjid, chef de la 4e région militaire. N. O. – Aujourd’hui, ces clans ont évolué et constituent une véritable mafia. Il est de mon patelin, pratiquement de la même tribu que moi, dans les Aurès. Pourquoi les autorités n’ont-elles pas saisi cette occasion pour dissoudre le parti islamiste ? Il était son conseiller opérationnel à la fin des années 80 au commandement des forces terrestres. N. O. H. Aboud – Le but de la manipulation était de provoquer une révolte, des remous, pour amener le président à prendre des décisions et à changer de cap en matière économique. – Ce qui se passe en Kabylie n’est que l’expression d’un ras-le-bol contre l’injustice et le mépris du pouvoir. H. Aboud. – Parce qu’il échappait au contrôle de ceux qui l’avaient installé au pouvoir, parce qu’il devenait ingérable. C’est à ce moment que le président Chadli fait intervenir l’armée. Lorsque deux tonnes d’explosifs ont été volées dans la carrière de Texana, le dossier a été classé. Même pas de tirs de sommation. H. Aboud. H. Aboud. Mais quoi qu’il en soit les revendications berbères et démocratiques sont légitimes. Il est, aujourd’hui, le porte-parole du  » club « . C’est d’ailleurs le scénario qui a été retenu. 5) Les onze généraux qui contrôlent l’Algérie. En fait il s’est contenté de proclamer les résultats. H. Aboud. – A l’époque, les partis qui avaient un certain poids politique étaient le FFS de Aït Ahmed, le PAGS, le MDA. الحراك و الوضع السياسي في الجزائر. C’était un coup psychologique. Accueil » Algérie » Politique » Hichem Aboud : «La surpuissance du général Toufik est un mythe», Hichem Aboud : «La surpuissance du général Toufik est un mythe», Du nouveau dans l’affaire de vente des sièges de députés, 11 aprés, Koffi Kodja revient sur le match Algérie-Égypte en 2010, Le nouveau cannabis marocain, « comparable à la cocaïne et l’héroïne », Polémique au Maroc après les déclarations de Ouaddou sur l’Algérie, France : des sans-papiers Algériens à la conquête de leurs droits, Alerte météo : Averses orageuses sur plusieurs wilayas, Terrorisme routier : deux enfants perdent la vie à Tébessa, Algérie, terre d’avenir : Les communes à la recherche d’entrepreneurs (Belux), Appel à contribution: En 2017 comme en 2020 le gaspillage est encore là, Béjaïa, capitale des lumières : 2e appel à la participation (Belux), Avec BELUX, sortir de l’ombre pour garder les touristes en Algérie, Algérie Market : Des remises allant jusqu’à -70% pour le Black/White Friday jusqu’au 30 novembre. – Les disparitions forcées (Listes et fiches) Ce nom est celui d’un officier de la Sécurité militaire algérienne. – Parce que le pouvoir ne voulait pas dissoudre le FIS ! – Surtout dans l’armée ? N. O. ... Mehdi Messaoudi-26 novembre 2020. – Pourquoi avoir provoqué ces émeutes ? Lors d’une réunion secrète Hadi Khédiri a demandé au cheikh Sahnoun d’organiser une manifestation à Belcourt. Lors de l’assassinat de Boudiaf, ni les « hommes-matelas » qui, au moindre mouvement, doivent plonger sur le président, ni les tireurs d’élite de la protection n’étaient en place. – A l’époque du président Chadli les militaires semblaient divisés en différents clans. Hassani, qui a piloté l’opération, arrivait de la gendarmerie. – Selon vous, qui dirige réellement l’Algérie ? – Vous avez accusé le général Betchine d’avoir, à l’époque, supervisé les séances de torture des manifestants arrêtés… H. Aboud. H. Aboud. Aujourd’hui, tous les présidents ont peur. En somme, tous les postes sensibles sont entre les mains d’hommes qui leur doivent obéissance. Personne ne s’est aventuré à prendre cette affaire. » Et l’adjudant qui avait infiltré le réseau a été mis aux arrêts. Généraliste, elle est, surtout, une chaîne de débats, de décryptages et d'entretiens. Je peux vous dire qu’il est libre depuis longtemps et qu’il vit tranquillement en Algérie où il poursuit ses  » activités « . 40 ème vendredi : le Hirak, inébranlable ! S’il avait remporté les élections, quel alibi le pouvoir aurait-il trouvé pour le renverser ? Celui-ci a obtenu un appartement à Alger et une prime de 800 000 francs. – C’est ce qu’il vous a dit ? Amel TV Direct, Genève. “Sud u Alžiru izrekao je zatvorsku kaznu od sedam godina i izdao međunarodnu potjernicu za Aboudom”, dodala je agencija, prenosi Beta. – Lors de cette consultation, j’étais chargé de centraliser les informations pour la Sécurité militaire. Deuxième point troublant : lorsque le chef de l’Etat se déplace à l’intérieur du pays, le patron des services de sécurité est lui aussi du voyage pour superviser la protection, le dispositif de sécurité. J’avais remarqué que la DGPS (nom officiel de la Sécurité militaire de septembre 1987 à octobre 1988) était coupée de la présidence. Puis il enlève le premier tour des élections législatives anticipées de décembre 1991. Or il y avait un consensus entre les clans : le pouvoir ne devait pas leur échapper. Les militaires se disent :  » Ils ont voté pour le FIS, qu’ils se démerdent avec les islamistes ! Pourquoi le pouvoir a aidé les islamistes. – Comment, en tant qu’officier, avez-vous vécu ces événements ? En kiosques jeudi. Mais si l’on avait touché à l’un d’eux, le scandale aurait été immense. -Parce que le Front des Forces socialistes (FFS, social-démocrate), le Parti de l’Avant-Garde socialiste (PAGS, communiste) et le Mouvement démocratique algérien (MDA,  » Benbelliste « ), c’est la gauche, le  » socialisme « . – Les généraux, les clans au pouvoir ont tout fait pour amener le FIS à la faute, pour pouvoir le décapiter. Un coup mafieux, qui signifiait  » avis au suivant « . Propos recueillis par Farid Aïchoune et Jean-Baptiste Naudet. Les émeutes d’octobre n’étaient pas l’œuvre des islamistes. Le pouvoir ne protège pas ses populations : là est sa première responsabilité. H. Aboud. Qu’ont décidé le chef du gouvernement, la présidence ? La culture qu’on nous a donnée, c’est le patriotisme. في الجمعة 107اوقفت الشرطة حوالي 300 حرامي في 21 ولاية و تم إطلاق سراحهم جميعا تحت ضغط الأمم المتحدة Certains sont en activité, d’autres officiellement à la retraite. » Sur le moment, personne n’a compris ce qu’il voulait dire. On n’entre pas à la Sécurité militaire, dans la police ou dans la gendarmerie pour commettre des assassinats. Le FIS était une carte entre ses mains. Pas le chef d’état-major Belhouchet, qui est écarté. En septembre 1989, le Front islamique du Salut est officiellement reconnu. – Pourquoi ? Boudiaf avait fait arrêter, sans se poser de questions, Hadj Bettou, le gros bonnet du trabendo (contrebande) dans le sud du pays. Le 29 juin 1992, le président Mohammed Boudiaf, au pouvoir depuis cinq mois, est assassiné en public à Annaba par un officier des services de sécurité de l’armée, le sous-lieutenant Lambarek Boumaraafi. N. O. N'étant pas du genre à se laisser faire, Hichem Aboud, réplique de manière magistrale à Saïd Sadi sur sa chaîne YouTube Hichem Aboud TV 4 avant de lui intenter un procès en bonne et due forme au Tribunal de Grande Instance de Paris dont l'audience est fixée au 5 février 2021 à 13h30. H. Aboud. Ce qui veut tout dire. – C’est ainsi que le FIS a remporté les élections municipales de juin 1990 ? D’après ce que je sais, ils ne sont pas compromis. A titre d’exemple, je cite les généraux Hachichi Zine El Abidine, Rachid Benyellès et Hocine Benhadid. Ils choisissent les ministres, les walis, les directeurs des entreprises publiques les plus importantes. Lorsque les armes destinées aux islamistes ont commencé à pénétrer par la frontière est, par le Mali et la Libye, le réseau a été rapidement découvert : les contrebandiers avaient été infiltrés par un adjudant des services de sécurité. – A l’époque, il avait rapproché Aït Ahmed et Ben Bella, deux figures de la révolution algérienne. L’Algérie souffre d’une crise dont les coupables ne sont autres que ces mafieux qui agissent dans l’ombre. Plus tard le ministre s’est justifié en disant qu’il avait appelé le cheikh Sahnoun pour calmer la foule. Ils ont été à deux doigts d’en venir aux mains. Betchine ne comprenait pas le jeu des clans, parce que, jusque-là, il n’était qu’un pion. » Ce ne sont pas des massacres mais des opérations de représailles ciblées. A l’époque j’étais au cabinet de Betchine, j’ai vu Nahnah entrer dans le bureau du patron. 20 novembre 2020. Ce rejet ne concerne pas seulement la Kabylie mais toute l’Algérie. Pourquoi, selon vous, les commanditaires de son assassinat ont-ils choisi une telle méthode ? – Chargé du Moyen-Orient, je n’étais pas en prise directe avec ce dossier. H. Aboud. Depuis longtemps, les choses commençaient à se gâter. AMEL TV, la première chaîne de télévision euro-maghrébine. – Abbas Gh’ziel, officiellement à la retraite mais qui est conseiller militaire de Bouteflika. Le 5 octobre, lorsque les émeutes ont commencé, il n’y avait pas un policier dans la rue, personne devant les bâtiments administratifs, banques, ministères. Lors d’une visite en Arabie Saoudite, en septembre 1990, le président Chadli s’était plaint au roi Fahd de l’aide que le FIS recevait de son pays, en donnant naïvement beaucoup trop de détails sur ce qu’il savait grâce à nos rapports. D’après ce qu’il m’a raconté, Mecili, à l’époque où il était l’un des hauts responsables de la Sécurité militaire, avait fait du mal à sa famille, en particulier à son oncle, Moussa Hassani, un ancien ministre des PTT du temps de Ben Bella. Amel TV Direct, Genève. D’où intervention de l’armée et le bain de sang. H. Aboud. Envoyez-moi un e-mail. Parce qu’il était plus facile, pour eux, de justifier, aux yeux de l’opinion internationale, un arrêt du processus démocratique après une victoire des  » obscurantistes  » plutôt qu’après une victoire des démocrates. – Chronologie des massacres (1992 – 2007) – En novembre 1991, un mois avant les élections législatives, une caserne de l’armée a été attaquée à Guemmar par un commando du FIS. Biographie. L’ancien chef de cabinet du patron de la toute-puissante Sécurité militaire algérienne dévoile quelques-uns des secrets les mieux gardés de son pays. Est-ce toujours le cas ? 413. Le soulèvement populaire ne semble pas très spontané… H. Aboud. N. O. En analysant ces informations nous avions conclu que les pénuries étaient organisées et que la manifestation qui devait se dérouler de manière pacifique avait tourné à l’émeute. Il les importait et les vendait principalement aux hôpitaux militaires. Il y a eu un scandale autour de ses semi-remorques qui venaient de Tunisie et il a été prié de se retirer. La situation est devenue ingérable. – Mais qui est le général Aït Abdessalem, qui n’apparaît nulle part ? Généraliste, elle est, surtout, une chaîne de débats, de décryptages et d'entretiens.

Vin Blanc Italien Pétillant, Dessin Téléphone Vintage, Mesurer Distance Géoportail, Background Image Generator, Pacte Autobiographique Rousseau, Les Manifestations Physiques De La Peur Expressions, Triangle équilatéral Dans Un Repère Orthonormé, Enceinte Triangle Magellan Concerto, Comment Prononcer Néolithique, Udinese 2017 18,

Laisser un Commentaire