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enquête criminelle affaire rouxel

34 ans, manouvrier. Le 26 juin 1846, à Ville, au lieu-dit Piandi Piza, abattent le père Savelli et blessent à la poitrine et au bras droit l'un de ses fils. Réagit peu. C'est une comédie !" Etranglent dans la nuit du 10 au 11 janvier 1839 à Lautrec Marie Blanc, veuve Carivenc, pour lui voler 17 francs. Enfermée à la Conciergerie pour la protéger des autres détenues qui voulaient lui faire un mauvais sort tant son crime les avaient révoltées. Certain d'être gracié et libéré, se montre résigné. Ses complices, Antoine Rouzies, 31 ans, carrier, et Jean Mergues, 37 ans, cultivateur, sont condamnés aux travaux forcés à perpétuité. 33 ans, maçon. Rassurée par la réponse. Jettent Anne Morin, la fille, dans un puits - elle s'en sort vivante -, et abattent d'un coup de fusil Anne-Catherine Fourquenay, veuve Morin, la maîtresse des lieux, en emportant 20.000 francs. Tente de se faire ouvrir par la mère de sa victime pour la tuer elle aussi et piller la maison, mais la veuve Duvaltier refuse de le laisser rentrer. PARRICIDE, 43 ans, cultivatrice à Courcelles-sous-Thoix. A Toulon, le 04 janvier 1843, égorge sa maîtresse Marie Chevalier, 22 ans, prostituée, qui ne voulait plus de lui comme compagnon. Prie quelques minutes au pied de l'échafaud, puis monte les marches fermement. Dans la nuit du 04 au 05 juillet 1845, tente de tuer à coups de marteau le contre-maître détenu Hermion, le rendant sourd, pour se venger de son statut dans la prison qui lui permettait de faire preuve d'autorité et de punir les détenus à l'envi. 35 ans, voleur récidiviste, ancien colporteur. N'écoutez point ceux qui, sous prétexte de républicanisme, se font les prédicateurs des doctrines démagogiques, et n'ont d'autre but que de précipiter la société dans toute sorte de malheurs ! Mange de bon appétit, demande régulièrement l'heure. 55 ans, menuisier à Cases-de-Pène, ancien adjoint au maire. Marie-Adélaïde Vidalaire, veuve Potin, 60 ans, ménagère, est condamnée à mort et graciée. Attaque pour la voler le 11 janvier 1866 au 3 rue d'Erfurth Louise Midy, artiste peintre, tentant de l'étrangler. Mon Dieu, que n'ai-je écouté à temps les bons conseils ! En pension chez la veuve Bouchard, refusant de payer son loyer, est assigné en justice par le fils de sa logeuse, Jacques, 52 ans, pour une somme de 31 francs 40. Viole et tue Mlle Mercié à La Prunarède le 13 avril 1844, puis tue Mme Mercié avant de la voler et de mettre le feu à la maison. Comme elle ne peut maintenant rester à mon cou, je la placerai dans le gousset de mon pantalon, et on l'enterrera avec moi." Il l'accuse de faux témoignage, et se dit convaincu que les crimes ont eu lieu avant son retour, ce soir-là[35]. Sa seconde femme, Marie Merle, est acquittée. Réveillé à 6h30 par le directeur. Prie, et pleure. Quitte la prison à 8h30. "Voilà, je suis prêt. Payé par la famille Michaut 15 francs pour empoisonner le père Imbert, tente de l'intoxiquer le 12 août 1837 à La Chapelle en mettant une pilule d'arsenic dans son déjeuner : Imbert et sa domestique survivent à la tentative. Pendant la toilette, perd toute contenance, et on doit pour le transport solliciter une voiture imprévue, ce qui retarde un peu l'horaire prévue. 23 ans, ouvrier agricole connu pour sa violence. PARRICIDE, 42 ans, propriétaire et vacher à Lanton. Répondent : "Depuis que nous avons communié hier matin, nous sentons en nous un courage terrible." Averti de la nouvelle, fond en larmes et perd connaissance. Chef d'une bande révolutionnaire, auteur de quinze incendies volontaires aux Martres-de-Veyre entre le 11 janvier 1852 et le 26 juin 1853, tous commis sur des maisons de riches propriétaires. Réveillé par le greffier Lautier à 5 h, ne comprend pas. On lui passe sa blouse sur les épaules, et comme on lui propose de quoi manger, dit : "Oh, il est trop matin pour ça !" Arrive à Montluel à 4h30 : près de dix mille personnes se sont réunies dans le village, plus aucune chambre n'y est disponible, et plus de deux cents militaires ont été chargés d'effectuer le service d'ordre. Assaille le 26 mars 1832, entre Chanteloup et la Chapelle-Pitié, le colporteur Lemoff, qu'il frappe à coups de fusil pour voler deux aunes de galon blanc. Remercie Dieu pour lui avoir laissé assez de temps pour préparer son âme, mais regrette l'heure d'exécution, trop matinale selon lui pour servir correctement d'exemple à la population. 38 ans, bûcheron. PARRICIDE, 40 ans, roulier puis épicier/quincaillier à Delain. 44 ans, bourrelier et 60 ans, propriétaire. Boulevard Heurteloup, devant la gare, monte fermement les marches avec son confesseur, s'agenouille et prie, puis embrasse le prêtre et se livre à l'exécuteur. Après la messe, demande au prêtre de veiller sur sa femme et de la conseiller. Apprenant par un ami que sa logeuses, Mme Berthomé, a déposé contre lui, il revient en France et le 10 avril 1832, l'abat d'un coup de fusil ainsi que sa fille de 15 ans. Que deviendra-t-elle sans moi ?" Le 15 juillet 1860, alors qu'Appoline se remet de l'accouchement, Adler tue sa belle-mère, Mme Lutembacher, 50 ans, de neuf coups de couteau, et entend faire subir le même sort à sa femme, qui parvient à s'enfuir. 35 ans, manouvrier. Déjà condamné à cinq reprises pour vols et blessures. Registre d'état-civil des décès de Rouen du second trimestre 1847 manquant sur le site des archives départementales. On lui sert alors un verre de vin sucré qu'elle boit avec plaisir après avoir porté un toast : "A votre santé, Messieurs !" 57 ans, cultivateur, vétérinaire. 56 ans, tailleur de pierres. 28 ans, cordonnier, déjà condamné quatre fois. Ivre, tue le 7 mai 1869 rue Compoise à Saint-Denis Mme Padieux, épouse Gagnon, couturière, 32 ans, sa maîtresse et son fils Arthur, onze ans, à coups de hache. Ne m'abandonnez pas ! Calme tout au long de la matinée. Comme on lui dit que Napoléon III a décidé de gracier sa soeur mais qu'il ne pouvait en être de même pour lui, en raison du nombre de ses crimes et de leur brutalité, rétorque : "J'aime mieux mourir pour elle, mais il faudrait demander une nouvelle grâce, à cause du pauvre petit innocent qui va être abandonné." Tente de se suicider d'un coup de couteau dans la poitrine au moment des délibérations. 31 ans, cultivateur à Privezac. Dans sa cellule, Auguste remercie avec chaleur Me Collignon son avocat. Licencié pour vol par son patron Beauval, pénètre le 21 mai 1847 à Berneval-le-Grand par effraction dans la maison Beauval, frappe à coups de couteau les époux et pille les lieux. Ayant détourné des fonds destinés à son frère Bernard, ne voulant pas le rembourser, se procure en mars 1849 de la mort-aux-rats avec laquelle il empoisonne Bernard, qui meurt le 30 mars après huit jours d'agonie. 34 ans, charbonnier et 31 ans, journalier. Tous semblent s’accorder sur ce seul point : Dany Leprince aurait tué son frère près de sa boîte aux lettres, environ 3 minutes après être sorti de table. - Martine semblait avoir très fréquemment d’importants trous de mémoire. Après que les époux aient fait donation des biens au dernier vivant, Anne maltraire son époux et l'empoisonne avec un plat de pommes de terre aux oignons et à l'arsenic le 14 août 1835. Victorine survit cinq jours à ses blessures. Mille morts pour moi s'il était possible, mille tourments, mais point d'échafaud pour vous ! 19 ans, ramoneur, Savoyard. Le 02 février 1835, à Saint-Pardoux, tuent à coups de marteau Léonard Bouleau, le mari violent et ivrogne de sa maîtresse, François Bouleau, 14 ans, est envoyé en maison de correction jusqu'à ses vingt ans. Comme ceux-ci n'hésitent pas à grimper sur le marchepied pour regarder le condamné de près, le prêtre s'emporte, et Sauzet lui dit : "Mais, mon père, laissez-les faire ! Si le produit toxique ne peut alors être identifié par la science, l'empoisonnement est avéré et Marie avoue son double crime quelques jours plus tard. Avouent également avoir, le 26 novembre 1850 près de Gien, tué à coups de hachette Luigi Fossati, chanteur ambulant italien, et d'avoir répandu son corps dépecé aux alentours du Bois de l'Anesse. Pendant le trajet, il continue à écouter le prêtre. Par vengeance, décida de ruiner sa maîtresse : tua le 01 avril 1857 à Saint-Genest-de-Contest la veuve Vidal, mère de la veuve Pradère, à coups de hache pour la voler et met le feu à la maison. 30 ans, portefaix et marinier. Tente de mettre fin à ses jours avec le passe-carreau après avoir commis son crime, et tente de s'égorger avec un couteau quelques instants après le verdict. Marie-Catherine Dollé, épouse Robert, 63 ans, est condamnée à la réclusion perpétuelle. On a aggravé ainsi ma peine, ce n'est pas là de l'humanité." Aucune des balles n'atteint le monarque. Environ 6000 personnes présentes. En voiture, gagne la Grand'Place, et descend seul. Réveillée par l'abbé Lindet, comprend aussitôt, calme. Au moment de quitter la prison, embrasse tout le monde. Etrangla en septembre 1834 à Rocquemont le berger Pierre "La Bête" Scellier pour lui voler sa bourse et son couteau, et jeta le corps dans une marnière où il fut retrouvé le 18 septembre suivant. 24 ans, pasteur. Le legs s'élevait à 600 francs. Demande à garder sa blouse pour se protéger du soleil, et fait ses adieux à tout le monde. Richeux l'évince et se recouche. Il n'y a donc d'impunité que pour les femmes ?" Grimpé sur la plate-forme, entend l'arrêt de condamnation. La vue n'en coûte rien !" Prennent trois otages avant de partir : Don Ballber, 70 ans, meurt de fatigue en gagnant leur refuge dans la montagne ; le banquier Roger est abattu d'une balle dans la nuque alors qu'il tente de s'enfuir. Entend la messe, toujours pleurant. Incarcéré au bagne de Toulon, libéré en 1858. Il a également demandé la réouverture des poursuites dans l'affaire, visant probablement l'ancienne épouse de Dany, Martine Compain. Quitte le lieu à 5h50, monte seul dans la charrette pour parcourir les derniers trente mètres. Roland Agret, op. A la prison de Fougères, reçoit les secours de la religion, apportés par les deux premiers prêtres, mais aussi un troisième, l'abbé Launay, de l'église Saint-Léonard de Fougères. Comme le brigadier se justifie, tels sont ses ordres, finit par se réigner : "Que la volonté de Dieu soit faite." Si Toussaint Fournier et son épouse Sophie Godry sont arrêtés, l'absence de preuves empêche l'inculpation de tous leurs complices présumés. Ne dit pas un mot, mais semble de plus en plus accablé à mesure que l'on s'approche de la guillotine. Pendant la toilette, Galbois manque défaillir, ses frissons se font intenses et il gémit. Le 17 avril, à Octeville, s'introduit par effraction chez M. Aubourg et vole 550 francs. Pendant la toilette, dit aux exécuteurs : "Prenez garde à mon bras droit, il ne va pas comme l'autre." La victime survit assez de temps pour le dénoncer. Grande foule, en majeure partie féminine, derrière l'église Saint-Simon du Fort-Moselle, entre la caserne et les remparts. Mari violent et débauché, empoisonne à Anglars en avril 1835 son fils Jean, âgé d'un mois. Gesta, bien que marié et père de deux enfants, est le père du premier fils de Catherine. Finit par avouer pour être détenue dans une prison plus salubre. Arrivé au Pont-Colbert, descend vite du véhicule, grimpe sur la plate-forme, s'agenouille pour prier. Le 15 juillet 1838, dans le bois de Villeclare, entre Saint-Genis et Saint-André, tue François-Barthélémy Py, syndic septuagénaire des gens de mer de Banyuls, de deux coups de bâton sur la tête et quarante-neuf coups de couteau pour le voler. Installé chez son beau-père, M. Quennehen, 83 ans, maltraite le vieillard. Tremble de peur, mais accepte d'entendre les secours de la religion, puis lui remet plusieurs menus objets qu'il lui demande de rendre à son épouse, gardant pour lui une image de la Sainte-Vierge. À la Socopa, on confirme que Dany Leprince n’a jamais eu de couteau à son nom, mais que sa femme Martine était à une époque employée au désossage des animaux dans les abattoirs et possédait des couteaux gravés à son nom[75]. Embrasse l'abbé Lindetet et le gardien de la prison qui l'avait accompagné, et se laisse basculer. Tue de trois coups de pioche, le 24 juin 1851 au Theil-de-Bissat, commune de Lépinas, l'ouvrier fondeur Fabre pour lui voler son porte-monnaie contenant une centaine de francs. Converse une demi-heure avec le prêtre, puis se voit retirer les fers. Prévenu à 4h par le directeur et l'aumônier. Acceptant la conciliation, en apparence seulement, abat au jour prévu pour l'expertise, le 09 juillet 1838, M.Facieu fils de deux coups de fusil dans l'abdomen et dans la poitrine. Remercie le gardien-chef pour ses bons soins ainsi que tous les autres. Avant de quitter la prison, remercie les gardiens et grimpe dans une voiture qui le conduit à la gare, escorté par quatre gendarmes. Louis Hamon, 26 ans, laboureur, est condamné aux travaux forcés à perpétuité. Recommence en incendiant l'asile provisoire le 19 février, au lendemain de sa construction, ainsi que le 22 février. Le 13 mars 1841, à Pomarède, tue son patron M.Fillol, meunier, de quatre coups de "pique" - un marteau fait pour entretenir les meules - dans la tête. Entend la messe, et avant la toilette, remet au prêtre ses bretelles et sa bague, à l'intention de son épouse. 53 ans, cabaretier rue de Charonne à Paris. A la dernière marche, prie et se fait bénit, puis embrasse à deux reprises le crucifix et le prêtre. Tua le 11 juillet 1836 de deux coups de barre de fer Pierre Cocher, 34 ans, un co-détenu qui l'avait dénoncé comme "mouchard". En 1839, Dumouin "embauche" sa maîtresse Marie Guigal comme servante, malgré les protestations de son fils Jean-Pierre cadet et d'Antoine Perroton, son beau-fils survivant. Voilà donc comme je devais mourir ! Frappe de deux coups de couteau au ventre et à la tempe droite, le 16 août 1856, son co-détenu Darius. Je ne donnerais pas ma part au ciel contre la tienne !" Lahr, ému et un peutremblant, fait de même que son complice : "Citoyens, je suis innocent. Plusieurs spectateurs s'évanouissent, dont l'un ayant assisté au supplice perché dans un arbre de la place. À sa sortie de Poissy, hormis son avocat, seule Béatrice Leprince était présente. Tire un coup de carabine sur Louis-Philippe le 15 octobre 1840, quai des Tuileries, sans le toucher - l'arme s'étant brisée lors du tir, car trop chargée. Quand il arrive au pied de l'échafaud, jette la pipe au sol et la casse du pied, puis grimpe à l'échafaud, et après avoir embrassé les deux prêtres, se jette sur la bascule sans que les exécuteurs n'aient à intervenir. Ayez pitié de moi ! Sans pleurer, soupire plusieurs fois : "Hélas ! Avant de sortir, cherche des yeux le gardien Martin, et le fait appeler pour le remercier de ses bons soins, avant de lui demander de donner son paletot à son père, Georges. 36 ans, ménagère. Au sortir de la foire de Brion, assomme d'un coup de bâton, le 14 septembre 1860, Jean Ladevie, 40 ans, colporteur, pour lui voler 25 francs. Pascal reste calme, Graft accuse le coup un instant, puis se reprend et annonce qu'il est prêt. Pierre-Victor Avril et Pierre-François Lacenaire. 48 ans, journalière, veuve en premières noces d'un M.Dejeux, se remarie avec Xavier Juge, journalier à la Vieille-Loye, et père de cinq enfants d'un premier lit. Entend la messe de l'abbé Boieldieu. Georges avait été jugé devant les assises de la Nièvre, suspecté d'avoir, en 1826, étranglé dans son sommeil pour la voler la veuve Coguet, marraine de l'un de ses enfants, et dérobé 700 francs et une croix en or... qui furent d'ailleurs retrouvés chez eux. Trouvant les gardiens injustes, le 09 décembre 1850, pendant le déjeuner, vole le sabre du gardien Mallet et s'en sert pour le planter dans le flanc du gardien Guillaume Peyre, avant de lui trancher trois doigts de chaque main et de mutiler le cadavre. 32 ans, second capitaine à bord de l'Alexandre, parti de Bordeaux pour Batavia avec 17 hommes à son bord, réprimandé fréquemment par le capitaine Bouet pour sa paresse. M. Juge était allé le lendemain porter plainte contre lui et Collignon contraint à rembourser les deux francs excédentaires, ce qui l'incita à se venger. Demande juste "Et la femme Jeanneton, qu'en fait-on ? et promet qu'on devra le traîner si le prêtre s'avise de l'accompagner sur l'échafaud. Toujours selon cette version, elle se réveille à 23 heures et va se coucher auprès de son mari. Empoisonna sa soeur. Sa complice et belle-soeur, Peyronne Bonnamy, est condamnée aux travaux forcés à perpétuité. Exécuté sur le champ de foire, meurt courageusement. Avec l'autorisation du directeur, sort sa pipe, la bourre et la fume paisiblement. 38 ans, taupier. Son père et complice, Jean-Baptiste "Vast" Roussel, 60 ans, tisseur, est condamné aux travaux forcés à perpétuité. Elle a une crise d’angoisse le lendemain et « entend Â» son mari hurler, mais ne sait pas où. Le 1er janvier 1838, rue des Peites-Ecuries, frappe de quatre coups de ciseau Hermance Ducreus, pour lui voler sa montre et son livret de caisse d'épargne. Puis, plus tard, des cris et des hurlements horribles. Prévenu à 5h par l'aumônier, déjà réveillé, calme : "Je m'en doutais, toute la nuit, j'ai entendu des bruits extraordinaires, des allées et venues qui m'ont fait comprendre." L'hôtel de ville assez loin de la rue du Faubourg-de-Cambrai, lieu choisi pour l'exécution - la place principale étant occupée par la foire -, toilette effectuée dans les dépendances d'une auberge à dix mètres de la guillotine : le condamné reste debout. PARRICIDE, 37 ans, cultivatrice. Assassina le 12 juillet 1866 sa femme Marie-Madeleine Aubert, 51 ans, dans leur ferme d'Orval. Assassina son père Zacharie-Joachim, 65 ans, cordonnier, le 17 octobre 1856 à Conches. Reste une heure durant dans la salle basse pour attendre l'heure du départ. Tenta d'empoisonner sa belle-mère, Marie Levêque, veuve Guy, en janvier 1832, ainsi que sa belle-soeur Marie Guy et le fils naturel de celle-ci, Vincent, 4 ans, avec un plat de fèves, ne réussissant qu'à leur donner une grave intoxication alimentaire. Tue à coups de bâton et de sabot à Lessac le 17 décembre 1837 son père Jean parce que celui-ci refusait qu'il épouse sa domestique adolescente - laquelle n'était pas du tout intéressée par lui ! Se confesse en prison. 22 ans, journalier. Comme le condamné demande au père Benoît de prier pour lui, ce dernier, ému, lui pose fraternellement la main sur la joue avant que les exécuteurs n'accomplissent leur tâche. Adelaïde Descieux, veuve Noble et Nicolas "Petit-Sorcier" Gérôme. Comme le directeur l'exhorte au courage, l'aumônier l'assure qu'il en aura, grâce à la religion. Martine Leprince leur apparaît « fragile [… ] très apeurée,[…] pas sûre d’elle du tout Â»[67], « elle a énormément de mal à s’exprimer, elle sanglote Â», est victime d'un malaise[68]. Martine, s’inquiétant du sort de Solène, se met à la chercher dans les alentours avec la nourrice[6]. Je n'ai rien à dire qui ne puisse être entendu de tout le monde. Va à pied jusqu'à la place Ronde, tête penchée, soutenu par les aides-exécuteurs. ), cependant cette version de Roland Agret ne sera jamais confirmée. Prend un bol de bouillon en sortant, puis un verre d'eau-de-vie. cit., p 82-87 : Procès-verbal de garde à vue de Martine Leprince. Elle se réveillera en retard. Renée Leprince aurait alors refusé de recueillir Solène, au prétexte qu'il fallait « sauver Dany Â», et lui aurait demandé de ramener la petite dans sa chambre, dans la maison de ses parents, pour faire comme si de rien n'était[64],[35]. Le 14 mars 1847, au 35, rue du Veribois, au cours d'un cambriolage, frappe à coups de couteau M.Muret, marchand de charbons, le blessant au bras et à la main droite, sa mère Mme Muret, qu'il atteint à l'aisselle gauche, le concierge du 39, M.Ducourtion, qui venait à leur secours et qui est touché à la poitrine, et M.Pillon, marchand de vins, qui est lacéré à la main, au bras et à la cuisse gauche, ainsi qu'au visage. Proposant à son neveu Eugène Sellier, 32 ans, d'intégrer la franc-maçonnerie, le 16 septembre 1839 à Villers-sur-Coudun, le blesse à coups de fusil pour lui voler les 10.000 francs de frais d'intégration... 33 ans, berger. Après avoir abusé régulièrement de leur crédulité, assassina à coups de pierre le 10 mars 1864 à Quérénaing Jean-François Joseph Prévost et son épouse Joséphine Haussy, bergers, pour ne pas avoir à leur rendre une somme de 800 francs que les Prévost lui avait prêté. Son frère Augustin Thilloy et leur complice Ignace Dufour, aussi condamnés à mort, mais leur peine est commuée. La veille, à la prison de Douai, reçoit sa femme, sa belle-fille et son fils, qu'il embrasse en disant : "Il a été bien élevé, le p'tiot ; j'espère bien qu'il ne fera jamais comme moi". Accepte de voir le père Cohadon, curé de Saint-Amable, qui le confesse et lui promet, à son grand soulagement, qu'il veillera au salut de ses enfants après sa mort. Pousse un cri de peur rauque, devient livide et manque perdre connaissance. Exécuté devant la prison, rue de la Buanderie. Frappe le 23 mars 1852 à Lorient sa fille Jenny de trois coups de couteau ; la jeune femme survit une semaine à ses blessures. Au cours d'une émeute à Buzançais, initiée par le vol d'un convoi de blé - 1060 décalitres - motivé par la famine, entre le 13 et le 15 janvier 1847, tentent d'assassiner le meunier Cloquemin et les propriétaires Brillant et Gaulin après avoir pillé leurs maisons. Quelques instants avant six heures, revêtue de la tenue des parricides, quitte l'hôtel-de-ville et va à l'échafaud, monté sur la place devant environ 5.000 personnes. 33 ans, valet de ferme. Les frères Gigax se retrouvent, et le condamné console son frère en larmes. Heidenreich fait desserrer les entraves, avec méfiance, car Jacquet est un colosse.

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